Le
système capitaliste a exploité et abusé la nature, poussant la planète à
ses limites, tant est si bien que le climat est l’objet de
fondamentales et dangereuses transformations.
Aujourd’hui,
la gravité et la multiplicité des dérèglements climatiques –
sécheresses, désertification, inondations, ouragans, typhons, feus de
forêts, fonte des glaciers et de la banquise – indiquent que la planète
brûle. Ces variations extrêmes ont des effets directs sur les humains,
que ce soit à travers les décès, les pertes de moyens de subsistance, de
cultures ou de maisons, conduisant à des déplacements de population
sous la forme de migrations forcées ou de réfugiés climatiques, avec une
ampleur sans précédent.