Foire à l'autogestion à Toulouse les 29 avril et 2 mai
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mercredi 15 avril 2015
jeudi 9 avril 2015
Des travailleurs et des travailleuses sont aujourd’hui en train d’écrire dans la réalité concrète, contre vents et marées, une page de l’histoire de l'autogestion
Notes de lecture de Didier Epsztajn
Dans leur préface, Richard Neuville et Nils Solari, reviennent, entre autres, sur la situation en Argentine dans les années 2000, le « Que se vayan todos ! », les expériences des entreprises récupérées par leurs travailleurs (ERT). Ils soulignent qu’Andrés Ruggeri et l’équipe Facultad Abierta livrent « une
version distanciée du phénomène, en présentant à la fois ses conquêtes
et ses réussites, mais surtout, sans oublier d’énoncer l’ensemble des
contraintes et des contradictions qui le traversent ». Ils parlent des « Rencontres internationales de l’économie des travailleurs », de la nécessité des échanges et des transmissions d’expérience, « Car
les mouvements de reprise d’entreprises se déploient non seulement dans
la pratique, mais ils sont également porteurs de théorie »…
Souscription Ve Rencontre internationale de « l’Économie des travailleur-ses » au Venezuela
La
prochaine rencontre internationale biennale de
l’Économie des
travailleuses et des travailleurs
se déroulera dans les locaux de
l’usine
VTELCA (Venezolana de Telecomunicaciones) à Punto Fijo
au Venezuela du 22 au 26 juillet 2015.
Initiées
par l‘Université de Buenos Aires (Argentine), les précédentes
éditions ont eu lieu en 2007 et 2009 à Buenos Aires, en 2011 à
Mexico
et en 2013 à João Pessoa au Brésil.
jeudi 19 mars 2015
Publication du livre "Occuper, résiter, produire" d'Andrés Ruggeri
Les éditions Syllepse publient ce mois-ci le livre d'Andrés Ruggeri "Occuper, résiter, produire" en français fin mars. Ce livre est paru en 2014 en Argentine. L'auteur, anthropologue argentin, est un des principaux connaisseurs du processus de récupération des entreprises par les travailleurs en Argentine, il a notamment coordonné les quatre enquêtes universitaires pluridisciplinaires. L'ouvrage est préfacé par Nils Solari (qui a assuré la traduction de l'ouvrage) et Richard Neuville qui connaissent bien l'auteur et qui participent au comité international de l'Economie des travailleur-se-s, qui tiendra sa prochaine rencontre mondiale en juillet 2015 au Venezuela. Une présentation de l'ouvrage en présence de l'auteur est organisé le 31 mars à Paris (voir ci-contre).
Message de solidarité de l'association pour l'autogestion avec VioMe
Solidarity
with the workers of VIOME / Solidarité avec les
travailleur-se-s de VIOME / Solidaridad con los-las trabajadores-as
de VIOME
The
signatories, members of the association for the self-management
(International committee of the economy of the workers - France)
express their total solidarity with the greeks workers of the company
VIOME (Thessalonic) in order for them to keep on their experience of
labor management. They specifically ask the Greek justice not to
question this self-management experience which protects jobs and
demonstrates that another economy is possible.
Greetings
internationalists,
Paris, March 18th
mercredi 18 mars 2015
Message de solidarité avec les travailleurs de Vio-Me
Solidarity
with the workers of VIOME from Aubenas (France) / Solidarité
avec les travailleur-se-s de
VIOME
à Aubenas (France)
Rassemblé-e-s
à Aubenas (Petite ville du Sud-Est de la France) ce mercredi 18 mars
pour la 4e fois en solidarité avec le peuple grec, les
participant-e-s adressent leur totale solidarité avec les
travailleur-se-s de l'entreprise VIOME (Thessalonique) afin
qu’ils/elles puissent poursuivre leur expérience de gestion
ouvrière. Ils/elles demandent expressément à la justice grecque de
ne pas remettre en cause une expérience autogestionnaire qui a
permis de préserver les emplois et de démontrer qu'une autre
économie est possible.
Salutations
autogestionnaires et internationalistes,
Aubenas,
le 18 mars
lundi 16 mars 2015
Solidarité internationale avec les travailleurs de VIOME devant la menace immédiate de la liquidation
Appel des travailleur-se-s de VIO-ME
Les travailleurs de VIOME à Thessalonique, en Grèce, se sont levés contre la pauvreté et le chômage. Ils ont entamé une longue lutte pour l'autogestion de l'usine et ce dans un contexte hostile. Cela fait deux ans qu'ils produisent et commercialisent des produits de nettoyage écologique dans l'usine occupée, ce qui leur garanti un revenu modeste pour leur famille. Ils ont travaillé dans des conditions d'égalité les uns par rapport aux autres, prenant les décisions collectivement en assemblée. Ce faisant, ils ont reçu une grande vague de solidarité en la Grèce mais aussi de l'étranger, convertissant leur lutte en une lutte emblématique pour la dignité humaine en Grèce en temps de crise.
samedi 7 mars 2015
Enjeux et défis de la Ve Rencontre internationale de l’Économie des travailleuses et des travailleurs
La
prochaine rencontre internationale biennale de
l’Économie des travailleuses et des travailleurs
se déroulera dans les locaux de
l’usine nationalisée VTELCA (Venezolana de Telecomunicaciones) à
Punto Fijo dans la péninsule
de Paraguaná au Venezuela du 22
au 26 juillet 2015 (Voir la convocation en castillan et en français
en pièce jointe). Elle revêtira un caractère particulier au regard
des expériences en cours et de la nature, bien qu'en crise, du
pouvoir dans ce pays. Ainsi, le comité d'organisation local est
notamment animé par le Comité national pour le contrôle ouvrier et
le Front national de lutte de la classe ouvrière, ainsi que par des
travailleur-se-s engagé-e-s dans les expériences concrètes de
contrôle ouvrier ou de cogestion, bien distinctes de celles des
entreprises récupérées argentines, brésiliennes, uruguayennes ou
européennes, autonomes des états. Ce sera donc l'occasion de
revisiter les concepts d'autogestion,
de gestion ouvrière, de cogestion, de contrôle ouvrier, de
coopérativisme, d'entreprises de production sociale (spécifiques au
Venezuela) à partir de la praxis, une confrontation indispensable
entre la théorie et la pratique dans la perspective d'une
actualisation de ces débats. Tout comme la relation dialectique et
la confrontation entre pouvoir étatique et autonomie du mouvement
populaire qui devrait être au cœur des débats.
lundi 23 février 2015
Evolutions des récupérations d'entreprises par les travailleur-se-s en Amérique latine
Assemblée
générale du 14 février 2015
Intervention
de Richard Neuville
Débat :
Amérique latine et rencontres de l’économie des travailleur-se-s
*
Evolutions en cours au niveau des récupérations d’entreprises par
les travailleurs en Argentine, au Brésil et en Uruguay.
*
Bilan des rencontres européenne, sud-américaine et nord-centre
américaine de l’économie des travailleurs tenues en 2014 et
perspectives pour la rencontre internationale biennale à Punto Fijo
en juillet 2015.
Brève
introduction au débat :
Au
cours de l'année 2014, nous avons publié plusieurs articles sur les
évolutions en cours en termes de récupérations d'entreprises en
Amérique du Sud et les rencontres de l'économie des
travailleur-e-s.
Pour
rappel, on définit une entreprise récupérée par les travailleurs
(ERT), comme « un processus social et économique qui
présuppose l'existence d'une entreprise antérieure, qui
fonctionnait sous le modèle d'une entreprise capitaliste
traditionnelle, dont le processus de faillite, de fermeture ou sa
non-viabilité, a conduit les travailleurs à la lutte pour sa mise
fonctionnement sous des formes autogestionnaires » (Ruggeri :
2005).
Il
ne s'agit pas ici de dresser une présentation exhaustive des
processus mais d'en dégager les éléments saillants. Des liens
renvoyés à des articles plus développés sont indiqués.
jeudi 19 février 2015
mercredi 17 décembre 2014
Quand les entreprises récupérées s'organisent par branche professionnelle, l'exemple argentin de « Red Gráfica cooperativa »
Par Richard Neuville
Dès 2001, les entreprises récupérées par les travailleur-se-s (ERT) en Argentine ont ressenti le besoin de se fédérer au sein d'organisations spécifiques. A cela au moins deux raisons, elles n'étaient pas ou peu soutenues par les organisations syndicales (à l'exception de l'Union ouvrière métallurgique de Quilmes et, plus tardivement, la fédération de l'imprimerie de Buenos Aires) et elles ne se sentaient pas représentées par le mouvement coopératif traditionnel. Elles devaient donc se doter d'une forme de représentation susceptible d'être un interlocuteur crédible face aux pouvoirs publics mais également pour développer des liens organiques entre elles. A l'époque, le Mouvement national des entreprises récupérées (MNER) joua un rôle prépondérant dans la transmission d'expériences et la solidarité avec les nouvelles coopératives, ce qui leur a permis d'acquérir une plus grande visibilité sociale, politique et médiatique. Entre 2002 et 2004, l'importante vague de récupération d'entreprises par les travailleur-se-s en a largement bénéficié et son intervention a été dans bien des cas décisive.
Dès 2001, les entreprises récupérées par les travailleur-se-s (ERT) en Argentine ont ressenti le besoin de se fédérer au sein d'organisations spécifiques. A cela au moins deux raisons, elles n'étaient pas ou peu soutenues par les organisations syndicales (à l'exception de l'Union ouvrière métallurgique de Quilmes et, plus tardivement, la fédération de l'imprimerie de Buenos Aires) et elles ne se sentaient pas représentées par le mouvement coopératif traditionnel. Elles devaient donc se doter d'une forme de représentation susceptible d'être un interlocuteur crédible face aux pouvoirs publics mais également pour développer des liens organiques entre elles. A l'époque, le Mouvement national des entreprises récupérées (MNER) joua un rôle prépondérant dans la transmission d'expériences et la solidarité avec les nouvelles coopératives, ce qui leur a permis d'acquérir une plus grande visibilité sociale, politique et médiatique. Entre 2002 et 2004, l'importante vague de récupération d'entreprises par les travailleur-se-s en a largement bénéficié et son intervention a été dans bien des cas décisive.
jeudi 13 novembre 2014
« L’économie des travailleur-se-s », une rencontre sud-américaine porteuse de perspectives
Par Richard Neuville
La
première rencontre sud-américaine de « L’économie des
travailleur-se-s » s’est tenue les 3 et 4 octobre en Argentine. Elle
s’inscrivait dans le prolongement de son homologue européenne réunie à Gémenos
début 2014 et précédait celle de la région nord et centre-américaine / Caraïbes
prévue les 7 et 8 novembre prochains à Mexico. L’objectif est désormais de
réussir la convergence de ses trois initiatives régionales à l’occasion de la
prochaine rencontre internationale biennale qui se déroulera dans l’usine
VTELCA (Venezolana de Telecomunicaciones) à Punto Fijo au Venezuela en juillet
2015[1].
L’association pour l’autogestion, représentée à Pigüé par l’auteur de cet article,
se mobilisera dans les prochains mois pour que le continent européen soit
dignement représenté pour cette Ve rencontre mondiale.
jeudi 21 août 2014
Rencontres régionales de « L’économie des travailleur-se-s » à Pigüé et à Mexico
Cet automne, deux rencontres régionales “L’économie des travailleur-se-s » sont programmées :
- la première, sud-américaine, se déroulera les 3 et 4
octobre à Pigüé (au sud de la province de Buenos Aires) en Argentine dans la
coopérative Textiles Pigüé, à laquelle l’association pour l’autogestion sera
représentée par Richard Neuville ;
- la seconde, Nord et Centre-américaine et Caraïbes, aura
lieu les 7 et 8 novembre dans la ville de Mexico (à l'université autonome ou dans un quartier populaire).
mardi 22 juillet 2014
Autogestion, retour gagnant*
Par Bruno DELLA SUDDA et Patrick
SILBERSTEIN
L'autogestion ? Disparue des radars en Europe avec le reflux politico-social de la décennie 1980 et du début des années 1990, elle avait marqué les esprits avec la grève des Lip, véritable coup de tonnerre en 1973 qui faisait la démonstration magnifique de cet impensé du capitalisme : on n'a pas besoin d'un patron pour faire tourner une usine, assurer la production et la distribution...
L'autogestion ? Disparue des radars en Europe avec le reflux politico-social de la décennie 1980 et du début des années 1990, elle avait marqué les esprits avec la grève des Lip, véritable coup de tonnerre en 1973 qui faisait la démonstration magnifique de cet impensé du capitalisme : on n'a pas besoin d'un patron pour faire tourner une usine, assurer la production et la distribution...
La
grève des Lip n'était pas isolée. D'autres grèves autogestionnaires, moins
emblématiques mais tout autant significatives ont eu lieu à cette époque un peu
partout dans le monde. Ainsi, celle de la Lucas Aerospace au Royaume-Uni (1976)
qui a vu les salarié-e-s adopter la démarche d'un contre-plan ouvrier avec
reconversion de la production militaire en production médicale. Tels les Sanofi
plus près de nous, ils et elles pensaient la production industrielle
socialement utile et donc l'après-capitalisme.
"Propriété et expropriations - Des coopératives à l'autogestion généralisée"*
Textes de
Karl Marx et Friedrich Engels présentés par Pierre Cours-Salies et Pierre Zarka
(Syllepse - 2013).
Pourquoi revenir aujourd’hui sur les coopératives à
travers des textes de Marx et Engels alors qu’ils sont jugés indifférents voire
hostiles à cette question ?
Dans une longue introduction, Pierre Cours-Salies
et Pierre Zarka montrent qu’il serait temps de ne plus lire chez nos deux
barbus ce qui ne s’y trouve pas et au contraire d’y lire ce qui est un élément
constitutif de leur pensée : une attention permanente à ce qui naissait
dans le mouvement ouvrier. Ils ne pouvaient pas ne pas s’intéresser aux
coopératives, qui furent au centre de polémiques sur la stratégie
anticapitaliste. Et leur appréciation fut positive.
Rencontre européenne « L’économie des travailleurs » dans l’entreprise Fralib
Nous publions successivement un article et deux entretiens publiés dans la revue ContreTemps n°22 -Eté 2014.
Par Richard Neuville*
La première rencontre
européenne « L’économie des travailleurs » s’est tenue les 31 janvier et 1er
février 2014 dans les locaux de l’usine occupée Fralib à Gémenos (Bouches du Rhône).
Elle a été organisée par le programme « Faculté ouverte » de l'Université de
Buenos Aires, le Département d’études du travail de l’Université autonome de
Mexico-Xochimilco, l'institut de sciences économiques et autogestion (ICEA-Etat
espagnol), le réseau Workerscontrol.net, les travailleurs de Fralib et
l’Association pour l’autogestion, avec le soutien de l'Association Provence
Solidarité Amérique du Sud.
Récupérations d'entreprises au Brésil - Entretien avec Vanessa Moreira Sigolo
Vanessa Moreira Sigolo est sociologue et, depuis le
début de ces études universitaires en sciences sociales et relations
internationales en 2002, elle travaille dans l’éducation populaire et milite
pour l’autogestion, la récupération des entreprises par les travailleurs et avec
les mouvements sociaux de l’économie solidaire au Brésil. Elle intervient sur
des projets d’extension universitaire au sein de l’université de São Paulo (USP), sur un programme d’Incubation technologique
de coopératives populaires (ITCP USP), en collaboration avec l’Association
nationale des travailleurs d’entreprises autogérées (ANTEAG) et au sein du
Département d’économie solidaire (NESOL USP). En 2011 et 2012, elle a
participé, avec une équipe de chercheurs de dix universités brésiliennes, à la
première enquête nationale sur les entreprises récupérées par les travailleurs
au Brésil qui a été publiée en 2013[1].
Actuellement, elle prépare un doctorat en sociologie dans cette université et
effectue un stage de doctorante à l’École des Hautes Études en Sciences
Sociales (EHESS), à Paris.
Récupérations d'entreprises en Argentine - Entretien avec Andrés Ruggeri
Depuis 2002, Andrés Ruggeri dirige un programme
d’extension universitaire[1]
et de recherche à la faculté de philosophie et de lettres de l’université de
Buenos Aires. Il est spécialisé dans les processus d’autogestion, en particulier
les entreprises récupérées par les travailleurs (ERT). Il est anthropologue
social et, dans le cadre du programme[2],
il a dirigé quatre « relevés » (enquêtes nationales) des entreprises
récupérées en Argentine[3].
Il a initié l’organisation de quatre rencontres internationales appelées
« L’Economie des travailleurs » dont l’objectif est de tenter
d’articuler au niveau international la théorie des chercheurs et intellectuels
avec la pratique autogestionnaire et les luttes des travailleurs, même si elles
restent encore un espace influencé par l’expérience argentine des ERT[4].
Il a publié plusieurs livres et articles sur le sujet[5].
mercredi 18 juin 2014
Syrie, l’autogestion populaire vue de l’intérieur
Par AMOR Dina
21
mai 2014
L’escalade
du conflit armé sur le territoire syrien, en présence d’une multitude de
factions et d’objectifs, a conduit par ailleurs à un black out, et d’aucuns
pourraient en déduire qu’il concerne l’autogestion populaire en Syrie. Les
chiffres illustrent l’aggravation de la situation interne syrienne avec près de
la moitié des Syriens contraints de fuir à l’intérieur ou à l’extérieur du
pays, tandis que l’autre moitié est prisonnière du siège, de bombardements
militaires incessants et d’une lutte armée entre les factions de diverses
forces, ce qui ne manque pas d’interroger sur la réalité de l’autogestion
populaire, compte tenu du repli de l’Etat et de ses attaques contre les civils.
Diren ! Kazova : l’usine turque sous le contrôle de ses travailleurs
Par Joris Leverink – le 4 juin 2014
A la
veille du premier anniversaire du soulèvement du Parc Gezi, un petit groupe
d’ouvriers du textile explore une alternative radicale : occuper,
résister, produire !
Diren !
Kazova, lit-on sur la pancarte
fixée au-dessus de l’entrée d’un petit centre commercial et culturel dans le
quartier animé de Sisli à Istanbul. A l’intérieur, le sol est pavé, donnant au
visiteur l’impression d’arriver dans un marché de rue. Des slogans comme « 1er
Mai ! », « Kazova résiste ! » et « Vive
la Révolution ! » sont écrits sur les pavés partout dans la
pièce. Aux murs sont accrochées des tringles où sont accrochés des pulls, des
centaines de pulls. À première vue, on dirait des pulls ordinaires. Jusqu’à ce
que l’on apprenne l’histoire qu’il y a derrière eux. Et, soudain, les pulls se
transforment en symboles de résistance, en signes de défi et en un espoir
matérialisé d’une société plus égalitaire, d’une économie plus juste – et, oui,
même d’un monde meilleur.
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