Par Richard Neuville
La constitution vénézuélienne adoptée en 1999 a attribué une place prépondérante
à la participation populaire. Sur le plan économique et social, dans son
article 184, elle facilite l'action des instances de cogestion, d'autogestion à
travers la "participation des travailleurs à la gestion des entreprises
publiques" et la "gestion d’entreprises sous forme coopérative
et d’entreprises communautaires de service pour favoriser l’emploi" et
"toute forme associative guidée par des valeurs de coopération mutuelle et
de solidarité"[1].