Crise du capitalisme : une contribution au débat de Bruno Della Sudda, Arthur Leduc et Romain Testoris*
Après la promesse de l'inversion de la courbe du
chômage, voici venu le temps du « retournement ».
Au-delà du caractère à la fois pathétique et
révoltant du propos présidentiel, c'est l'occasion de revenir sur la crise que
nous traversons.
1 Pour celles et ceux qui subissent de plein fouet
le chômage de masse et la précarité galopante de l'emploi, les femmes, les
jeunes et les hommes/femmes issu-e-s des immigrations plus que les autres,
cette crise est d'abord une crise économique et sociale aux conséquences
désastreuses.
Depuis quarante ans en France, sauf la courte pause
de quelques mois en 1981, les mêmes politiques économiques néolibérales sont
imposées aux populations, toutes on échoué par rapport aux objectifs affichés,
et ce sont ces politiques qui sont à l'œuvre sous la baguette du gouvernement
Hollande-Valls.
Comment, dans de telles conditions, peut-on avoir
le cynisme d'annoncer le retournement ?
A l'échelle mondiale, on n'est pas sorti de la
crise ouverte en 2008 : la récession ou une croissance très faible l'emporte en
Europe ; la croissance américaine est fragile, déjà menacée par de nouvelles
bulles immobilière ou internet ou liée à l'extraction des gaz de schiste ; la
croissance des pays émergents est très ralentie.
Aucun économiste bourgeois ne se hasarde à prédire
une sortie de crise et il est impossible d'affirmer que dans leur globalité,
les profits capitalistes dans leur ensemble -non-limités par exemple en France
à ceux du CAC40- ont été restaurés en retrouvant ne serait-ce que le niveau des
profits de la phase de croissance de la dernière décennie du XXème siècle.
Durant cette phase, on avait déjà remarqué d'une
part la fragilité de la situation, largement artificialisée par les phénomènes
de bulle, ni les nouvelles technologies de l'information et de la communication
ni bien sûr la financiarisation n'ayant la force d'entraînement et l'enracinement
productif qu'ont eu autrefois le chemin de fer ou l'automobile.
Et d'autre part, cette phase de croissance du XXème
siècle tardif n'avait pas produit mécaniquement les créations d'emploi
suffisantes pour résorber le chômage de masse, contrairement à la croissance
des Trente glorieuses.
Comment peut-on affirmer qu'avec une croissance
aujourd'hui beaucoup plus faible, le chômage reculera ?
Les conséquences sont claires et il ne fait pas
tourner autour du pot : à continuer les mêmes politiques économiques, le
chômage de masse et la précarité non seulement ne diminueront pas mais vont
encore s'aggraver, immanquablement.
Car pour les capitalistes et les spéculateurs,
cette crise est lourde de dangers et d'incertitudes : elle impose pour
restaurer les profits capitalistes de donner de nouveaux coups au monde du
travail, de faire reculer les droits et les acquis sociaux, en clair
d'intensifier l'exploitation de la main d'œuvre dans une course sans fin à la
compétitivité dans une concurrence généralisée des être humains et des
territoires. Mais cela remet en cause les conditions mêmes des possibilités
d'expansion du système capitaliste qui se retrouve donc face à une
contradiction interne majeure, rendant possible le pire -des solutions
politiques de plus en plus autoritaires, voire néo-fascistes- ou le meilleur
-un changement radical de logique vers une véritable alternative au
capitalisme.
Cette crise, dans sa dimension économique, est donc
à la fois une crise de surproduction comme d'autres avant elle, en conséquence
de « la dévalorisation de la force de travail au regard de sa
productivité » (1), et une crise qui ne peut se limiter à cela, au sens où
elle se combine à d'autres dimensions.
Sa dimension économique se combine à une dimension
écologique. Le continuum des dégâts accumulés des deux premières révolutions
industrielles et de l'explosion des pollutions de toutes sortes depuis la
seconde partie du XXème siècle, à quoi il faut ajouter le recul de la
biodiversité, l'épuisement des ressources et l'ensemble des dérèglements
climatiques, aboutit à ce constat : la crise est économique et sociale, c'est
aussi une crise écologique majeure.
A celle-ci, la succession de conférences mondiales
ad-hoc depuis le premier Sommet de la Terre de Rio en 1992 est une suite
d'échecs tous plus retentissants les uns que les autres. Le plus grave est
certainement la farce de la Conférence Rio+20 de 2012, prise en mains par les
firmes transnationales et orientée vers le capitalisme vert et la
marchandisation de la nature contre la notion de gratuité et de bien commun.
Ainsi, se conjuguent la continuation des politiques
économiques néolibérales et la fuite en avant productiviste, même pas
contrariée par la terrible catastrophe nucléaire de Fukushima.
C'est la combinaison de ces deux dimensions qui
donne le sentiment largement partagé d'un capitalisme du désastre et d'un
basculement du monde.
« Autrement dit, le capitalisme ne peut trop
exploiter la force de travail sans ruiner ses possibilités d’expansion, et il
ne peut non plus trop exploiter la nature sans détériorer ou détruire la base
matérielle de l’accumulation. L’illusion que la finance pouvait se dégager de cette
contrainte sociale et de cette contrainte matérielle et devenir une source
endogène et autosuffisante de nouvelle richesse s’est éteinte avec la crise
financière, car ces deux contraintes sont indépassables »(2).
Mais la crise ne se limite pas à cette combinaison
inédite : c'est aussi une crise démocratique majeure, en ce sens que les
mécanismes de la démocratie représentative et institutionnelle sont eux-aussi
arrivés à l'épuisement. Jamais n'a été aussi grand l'écart entre les
aspirations à la démocratie réelle et le monde politique représenté le plus
souvent par des politiciens professionnels quasi-interchangeables, discrédités
et corrompus, carriéristes et très éloignés du monde du travail, un monde
masculin, âgé et fermé aux apports de l'immigration. L'abstention électorale
grandissante touche surtout les milieux populaires, les jeunes ; alors
qu'autrefois elle était synonyme de dépolitisation, elle se conjugue
aujourd'hui à l'inverse à une politisation et une défiance justifiée vis-à-vis
de la « classe politique », sans pour autant ouvrir de perspectives
ou modifier le rapport de forces. Bref, une crise de la démocratie synonyme de
crise de la politique et de sa représentation.
Enfin, au Nord et particulièrement en Europe, la
crise a une dimension géopolitique : la fin des grands empires coloniaux au
XXème siècle, prolongée depuis 2010 par le processus des révolutions arabes en
tant que prolongement des révolutions coloniales, se conjugue à un phénomène
historique majeur : l'émergence des pays émergents, avec à leur tête les trois
géants que sont la Chine, l'Inde et le Brésil. On n'en mesure pas assez
l'importance : rien de moins que le début de la fin de la domination de cinq
siècles de « l'occident » sur le monde, les pays émergents pesant
déjà un tiers de la richesse économique mondiale.
Economique et sociale, écologique, démocratique,
géopolitique ou géostratégique- : la crise est tout cela à la fois et en même
temps.
Ces dimensions ne doivent pas être entendues comme
une simple juxtaposition. Pensons-les plutôt dans une articulation : ainsi par
exemple, la dimension économique de la crise du capitalisme est inséparable de
sa dimension écologique, à travers le fait que l'économie capitaliste se heurte
à la raréfaction des ressources et à la finitude de la planète.
De même, cette dimension économique peut-elle être
séparée de la dimension politique de cette crise quand on mesure l'écart
grandissant, dans les consciences, entre les conditions de vie misérables ou
dégradées du plus grand nombre produites par ce qui est perçu comme une crise
économique, et les potentialités d'un autre monde, vivable et solidaire, si peu
exprimées par la représentation politique ? Ce qui s'est produit dans le
déclenchement tunisien du processus des révolutions arabes renvoie à cette
articulation, à travers le désespoir puis la mobilisation d'une jeunesse massivement
instruite et privée de toute perspective d'emploi.
2 La crise est donc globale, multiforme ou
multidimensionnelle, systémique. Il y a tout lieu de parler de crise de
civilisation.
On ne peut donc y faire face par des demi-mesures,
des réponses partielles ou axées sur une seule de ses dimensions.
Les demi-mesures ou la politique des petits pas ne
mènent nulle part. Il ne s'agit pas d'un apriori idéologique mais d'un constat
: le bilan des politiques publiques menées par les sociaux-démocrates ou les
écologistes associés à la social-démocratie depuis la fin des Trente glorieuses
est, hormis de rares et courtes exceptions en France et en Allemagne, celui
d'un échec : un réformisme sans réformes.
Celles-ci ont laissé place à l'accompagnement -parfois
zélé- du capitalisme et aux contre-réformes. La raison en est simple : ni la
courte phase de croissance de la fin du XXème siècle ni la phase de crise
actuelle ne laissent un espace à une gauche réformiste comme celle des Trente
glorieuses et de ce qu'on a appelé de manière discutable le « compromis
fordiste ».
Les réponses partielles ou axées sur une seule des
dimensions de la crise actuelle ne sont pas à la hauteur : c'est une raison de
plus de tourner la page du vieux paradigme rouge (selon lequel le socialisme
règlera tout et en particulier ce qui relève des superstructures ou des
contradictions ou fronts secondaires). Et cela suffit aussi à pointer les
limites du paradigme vert qu'une partie des écologistes avait théorisé il y a
vingt ans : la dimension écologique de la crise n'est pas la seule et elle ne
se comprend qu'articulée entre-autres à la dimension économique et sociale,
l'écologie est inséparable de l'anticapitalisme, elle ne saurait ni tout
expliquer ni répondre à l'ensemble des problèmes posés. Voilà pourquoi
« l'écologie profonde » -penchant parfois très à droite-, de même que
« l'écologie réaliste » -symbolisée par son allégeance au
social-libéralisme avec par exemple cette invention inouïe, par ailleurs un échec
complet, qu'est le marché des droits à polluer !- sont une impasse.
Une réponse se limitant pour l'essentiel à la
dimension économique de la crise, qui plus est dans une optique néo-keynésienne
comme le font les courants de la gauche du PS en France et ailleurs en Europe, ne
convient pas non plus : elle ne combat pas le mal à la racine, limite la
perspective et néglige en particulier les dimensions écologique et
démocratique, en acceptant le capitalisme vert -éventuellement dénucléarisé et
résistant au projet des gaz de schiste- et un fonctionnement politique
institutionnel simplement réformé -en France, par la limitation du pouvoir
présidentiel , la fin du cumul des mandats, le renforcement des pouvoirs
parlementaires. Toutes mesures par ailleurs nécessaires et bienvenues, mais
largement insuffisantes eu égard aux enjeux de cette crise !
Par ailleurs, il faut souligner l'impasse que
constitue l'objectif de combattre le capitalisme financier au nom du retour au
bon capitalisme, le capitalisme industriel. Outre le fait que le combat contre
la « finance » sans plus de précision peut servir de pavillon aux
offensives réactionnaires et régressions nationalistes, on voit mal comment on
pourrait imposer au capitalisme mondialisé les régulations que sel
l'exceptionnel rapport de forces issu de la Libération (fascismes écrasés,
droites discréditées, mouvements populaires à l'offensive et, ne l'oublions
pas, armés) avait permis d'obtenir. C'est bien le capitalisme dans son ensemble
qu'il faut combattre, dans ses formes financières aujourd'hui dominantes au
pluriel mais non pas coupées de la production, comme dans ses déterminations
essentielles : la recherche frénétique de profits n'est-elle pas la réponse
permanente des capitalistes, actionnaires compris, à la tendance à la baisse du
taux moyen de profit ?
Face aux capitalistes et à leurs représentants
politiques -le personnel politique des partis bourgeois-, face aux
extrêmes-droites, comment reconstruire un rapport de forces ? Peut-on ignorer
ou dédaigner les partisans de cette perspective limitée, néo-réformiste,
présente dans les ailes gauches social-démocrate et vertes, dans la gauche
démocrate américaine, dans le mouvement syndical ou les secteurs les plus
modérés de l'altermondialisme ou encore dans certaines institutions internationales
(3) ? Si la question des alliances se pose (4), encore faut-il tenir bon sur
l'essentiel, du point de vue d'un véritable projet alternatif au capitalisme :
les alliances ne peuvent être nouées qu'à la condition de construire
inlassablement et en toute indépendance une force ou un rassemblement délimité
et identifiable à une échelle de masse, non-confondu avec le
social-libéralisme, clairement anticapitaliste et clairement alternatif.
De ce point de vue, deux remarques viennent à
l'esprit :
- la construction d'une telle force ou d'un tel
rassemblement est déjà engagée, c'est ce que font déjà Syriza en Grèce, le Bloc
de Gauche au Portugal ou encore l'Alliance Rouge-Verte danoise ; c'est aussi ce
à quoi tend le Front de Gauche.
Mais il reste à celui-ci à s'ouvrir à une véritable
dynamique citoyenne et à ouvrir un vrai débat stratégique en son sein car le
programme électoral « L'Humain d'abord » ne peut tenir lieu de projet
alternatif digne de ce nom, même si les diverses composantes du Front de Gauche
sont d'accord -et c'est essentiel- sur le caractère global de la crise ;
·
un projet
alternatif ne peut être la simple jonction du « rouge » et du
« vert » ou encore se référer seulement à l'écosocialisme (5) : il
doit penser leur articulation et intégrer pleinement d'autres dimensions de la
crise et des réponses à y apporter, à commencer par la démocratie qui doit être
synonyme de démocratie active et d'autogestion et pas seulement de
transformations institutionnelles, aussi importantes et nécessaires soient-elles.
La démocratie est du reste, comme pratique immédiate, comme exigence et comme
contenu du projet, au cœur du processus des révolutions arabes et des nouvelles
mobilisations de la première décennie du siècle, des Indignés aux entreprises
récupérées argentines en passant par la redécouverte des vertus du tirage au
sort. On retiendra, entre-autres, que dans ces processus et ces mobilisations,
le choix a été fait de ne pas mettre en avant des leaders ou des porte-paroles,
de jouer collectif et de limiter toute délégation de pouvoir et toute
personnalisation. C'est un élément de nouvelle culture politique et de réponse
à la crise de la politique et de sa représentation. A cela s'ajoute la soif
d'égalité des droits, le refus de tous les racismes et de toutes les
discriminations, le maintien des exigences féministes : ce n'est donc pas la
simple jonction du « rouge » et du « vert » qui est à
l'ordre du jour mais plutôt l'arc-en-ciel des émancipations.
3 Comment faire émerger un projet alternatif ?
En
apparence, la question peut sembler décalée, « pas à l'ordre du
jour », tant la crise est profonde, tant le rapport de forces est
défavorable. C'est à la fois vrai et faux. En France et en Europe, la situation
de ce rapport de forces est plus difficile et plus dégradée qu'ailleurs. Le
cours droitier, en France, de la politique gouvernementale produit des effets
de sidération et de démoralisation incontestables dans le monde du travail et
la jeunesse, y compris dans les réseaux militants, à la suite de nombreux
échecs sociaux et politiques des mobilisations et participations électorales,
et des difficultés à résister et à enrayer la dégradation généralisée des
conditions de vie et de travail. Ce constat vaut pour les pays d'Europe du
centre du nord, il est plus grave et plus dramatique encore pour l'Europe du
sud. Dans un tel contexte, le projet alternatif peut apparaître comme une
perspective lointaine. Mais on doit faire immédiatement un double constat :
·
ailleurs dans
le monde, en notamment dans l'Amérique afro-latino-indienne et dans le monde
arabe, le propos doit immédiatement être nuancé car des processus
révolutionnaires de longue durée, non-linéaires et donc faits d'avancées et de
reculs (6) y sont amorcés, malgré toutes leurs limites et leurs difficultés
actuelles ;
·
ici même en
Europe et y compris en Grèce, les mobilisations citoyennes et les mouvements
sociaux sont en difficulté certes, mais n'ont pas disparu, les pratiques
alternatives de toutes celles et tous ceux qui essaient, parfois à l'écart de
la vie politique ou syndicale, de produire, de consommer et de vivre autrement,
s'affirment notamment dans la jeunesse, en même temps que réapparaissent dans
le monde du travail les projets de type coopératif et autogestionnaire (7).
Ces éléments ne participent pas seulement des
résistances à l'offensive capitaliste néolibérale, ils dessinent dès
aujourd'hui les contours de la société alternative de demain, ils démontrent
que sans attendre les ruptures indispensables, un autre monde est possible et
nécessaire, pour reprendre le slogan altermondialiste plus actuel que jamais.
Ainsi, dans le foisonnement de ces mobilisations
citoyennes, mouvements sociaux, pratiques alternatives, toutes au cœur des
forums sociaux -et le FSM de Tunis en 2013 a été une grande réussite-, ou du Sommet
des Peuples de Rio (2012) en alternative à Rio+20, s'invente une part du projet
alternatif.
Pour le dire autrement, toutes ces alternatives en
germe préparent l'alternative de demain (8).
A toutes les échelles, nous devons contribuer à
l'articulation entre les résistances et les contre-propositions alternatives
dans tous les domaines, à la combinaison des luttes et des projets, à l'action
et à l'élaboration collectives qui permettent de donner corps à un projet
alternatif. Demain, d'autres expériences, d'autres processus révolutionnaires
-car la révolution est bien un processus, c'est ce que nous appelons la
révolution longue- nourriront ce projet.
De la mobilisation de Notre Dame des Landes à
l'objectif -immédiat et transitoire- fidèle au meilleur de l'histoire ouvrière
qu'est la réduction du temps de travail, en passant par ce qui se joue dans la
mobilisation des FRALIB et peut-être demain d'Alstom, tout se tient : refus de
la crise et résistance à l'offensive capitaliste, contre-offensive et projet
alternatif.
*Militants d'Ensemble! et des Alternatifs
Notes :
1.
« Le
travail et la nature sont les deux sources de la richesse mais seul le travail
crée de la valeur », JM Harribey in « Le Sarkophage » (n° 40-41
octobre 2013) ; entretien avec JM Harribey, revue Contretemps n°19 (4°
trimestre 2013).
2.
« La
richesse, la valeur et l'inestimable, fondements d'une critique
socio-économique de l'économie capitaliste », JM Harribey, Les Liens qui
Libèrent, 2013
3.
« Sortir
du néo-libéralisme », Gus Massiah in « Les Cahiers de
l'OMOS »/revue Contretemps n°20 (1° trimestre 2014).
4.
C'est
à sa manière le sens de la proposition, pertinente, du Front de Gauche de
substitution d'une alternative de gauche majoritaire à l'actuelle majorité
gouvernementale et parlementaire.
5.
Voir
contribution critique collective sur les thèses du PG et de l'écosocialisme,
parue dans le bulletin de débat du congrès des Alternatifs de novembre 2013.
6.
Entretien
avec Gilbert Achcar in Inprecor
n°603/604 de mars/avril 2014.
7.
Voir
dossier Autogestion à paraître dans le prochain numéro de Contretemps, avec
entre-autres un compte-rendu signé Richard Neuville de la rencontre
internationale des expériences autogestionnaires « L'économie des
Travailleurs » chez les FRALIB à Gémenos des 31 janvier et 1° février 2014.
8.
« Alternative
(s), autogestion et émancipation(s) », B Della Sudda/A. Leduc/R.Testoris
et « Alternatives et autogestion », P. Le Tréhondat/P.Silberstein in
« Les Cahiers de l'OMOS/revue Contretemps n°20 (1° trimestre 2014).
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