En cette période électorale, les attaques envers des représentants politiques de l’opposition sont quotidiennes, et croissantes à mesure que s’approche le scrutin. Les élections du Congrès et du Parlement Andin prévues en mars 2014 et les élections présidentielles qui suivront en mai sont soumises à une énorme pression où la prudence habituelle fait place à l’anxiété chez les leaders politiques comme chez les défenseurs des Droits de l’Homme.
Les départements à fort risque en raison de violences
généralisées sont le Chocó, Norte Cauca et Bajo Cauca,
Meta, Tolima, Antioquia, Putumayo, Caquetá, Guajira,
Cesar, Norte de Santander et Arauca.